J'aime le format 65/24 qui oblige l'œil à s'étirer, à respirer,
ce n'est pas seulement une question de cadrage : C'est une invitation à placer le sujet dans son souffle, dans son paysage, dans son silence.
Il donne de l'espace au récit, de la profondeur à l'émotion, et c'est peut-être ce que je recherche : ne pas enfermer la réalité, mais l'ouvrir en douceur.